Gwalior, la touche royale

Si Gwalior nous a autant plu, et tant surpris, ça n’est pas seulement pour la beauté de sa citadelle. C’est aussi parce qu’Aladin y a fait ses premiers vols ! Après de longues journées à Mumbai et Agra à stresser, râler et chercher pourquoi le GPS ne marchait pas, il a compris que c’était tout simplement parce que la procédure de calibrage n’avait pas été respectée…

Aussi le premier champ presque désert de la banlieue de Gwalior a servi d’entrainement. Puis, à notre grande surprise, nous avons sans problème obtenu une permission de vol de cinq minutes (!) au dessus des forts et temples pluricentenaires  de Gwalior. Des instants mémorables, bien que très furtifs ! A savourer donc  :

Gwalior la surprenante

Le voyage commençait mal : pour deux heures de train, nous avions décidé de ne pas prendre de réservations. Aussi avons nous failli rester sur le quai, car monter à cinq plus les bagages dans un wagon bondé est un sport que nous connaissons mal… Nous réussissons finalement à nous caser dans un wagon de militaires en perm …

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L’arrivée à l’hôtel ne fit qu’augmenter le vague à l’âme que nous avions en quittant notre resthouse d’agra. Chambres chaudes, pas de restau, pas de jardin, rien de très engageant … Mais pas le choix … Seule la réception valait le détour visuel.

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Nous contactons Nilesh, non pas le mari de Shariva, mais le Nilesh que nous avions rencontré une dizaine de jours plus tôt lors de nos 24h de train mumbai agra. Ravi que nous ayons tenu notre promesse, Nilesh débarque à l’hotel le lendemain matin 9h pour nous emmener chez lui, à la campagne. Nous embarquons avec nous Fabien, sympathique routard rencontré à l’hôtel. Fabien d’ailleurs si tu nous lis, laisse nous un message, nous n’avons pas tes coordonnées !! .
Dans la campagne de Nilesh, nous ne trouvons pas plus d’arbres magnifiques, que de parents agriculteurs comme annoncé, mais nous passons une journée mémorable et tranquille chez lui, très généreusement accueillis autour d’un bon repas épicé.

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Puis deux jours après, nous attendons Gasper, venu spécialement de Goa à notre rencontre. Gasper est photo vidéo reporter indépendant, et répond à une commande d’ euronews pour l’émission « learning world ». Et oui, nous avons été choisis pour témoigner sur l’éducation que nous donnons à nos filles pendant le voyage, qu’elle soit formelle ou informelle ! Nous vous transmettrons la date de diffusion lorsqu’on en saura plus…

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Une fois le cned du matin bouclé, nous partons tous ensemble en expédition à la citadelle. Et là, nous tombons en admiration sur le lieu, depuis ses statues jaïns jusqu’au palais de faïences bleues datant du 16è. Du coup, nous qui n’attendions que de quitter l’hôtel depuis quatre jours, décidons de rester un jour de plus pour mieux revoir la citadelle.

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Les réservations de train sont donc prises pour le dimanche matin 11h, direction Jhansi pour aller voir Orchha. Une heure de train seulement, mais pas question de renouveler l’expérience Agra-Gwalior. Nous arrivons une heure à l’avance, patientons sagement en attendant notre train en retard, puis comprenons une fois qu’il quitte le quai que c’était le nôtre … Pas facile de trouver le bon renseignement en Inde …
Bref, nous prenons le prochain… sans réservation du coup … Mais cette fois nous décidons de monter dans la sleeper class, Athena et Indira assez choquées de notre gruge ont trouvé néanmoins que le risque valait la peine d’être pris . ..

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Metraglob au Taj Mahal

Impressionné par le lieu, Metraglob a tout d’abord observé le palais depuis une terrasse de la ville. Il a pu comparer la splendeur du palais à la simplicité des petites maisons d’Agra. Comme partout en Inde, magnificence et simplicité se côtoient dans tous les domaines.

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Quand il est allé visiter la merveille, Metraglob est resté étonné, comme toujours. Le Taj Mahal est symétrique, on ne sait plus si on est devant, derrière, à droite ou à gauche ! Ce beau palais a été construit par un empereur indien qui avait perdu sa reine. Il était si amoureux d’elle, et donc si triste, qu’il a voulu lui offrir le plus beau palais du monde !

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En tot cas, tout ce marbre blanc n’est pas sans rappeler à Metraglob la maison de sa maraine d’adoption, la Chatelaine de la rue du bac, et ça, ça lui fait chaud au cœur !

Bonne rentrée !

Salut ! On pensait à la rentrée, alors on a voulu vous écrire un petit article, à vous notre classe de 5èB ! Il parait qu’il y a des nouveaux dans la classe, bonjour aussi !
Athena : Étant donné que la rentrée, c’est demain, on ne pense plus qu’à ça…
Indira : Ça commence à 13h30 chez vous ?? Et chez nous en Inde, il sera donc 18h00 ! Il fera bientôt nuit car ici elle tombe vite (tant mieux d’ailleurs, ça donne un peu de fraîcheur !)
Athena : En ce qui nous concerne, on a déjà bien avancé niveau Cned, puisque nous ne travaillons pas autant que vous chaque jour. Chaque mois, nous devons envoyer une évaluation finale par matière, sur la dizaine de matière qu’il y a, nous en avons déjà fini trois pour le mois.
Indira : Par rapport à la séance que nous avions faite ensemble sur l’Inde avant les vacances nous avons quelques pistes. Pour vous donner des idées sur les traditions par exemple, nous avons fêté il y a deux semaines, la fête du Raksha Bandhan, la fête de la fraternité.
Athena : Nous avons visité aussi le célèbre bidon ville Dharavi, dont nous avait parlé M.TOMÉ !
Indira : Oui et puis, je crois que dans toutes nos idées rassemblées l’année dernière, l’Inde était pour nous plutôt colorée, toujours ambiancée avec de tout dans les rues… Mais imaginez une seconde, une ville surpeuplée, pensez vous que c’est possible ?
Athena : Non, c’est pas trop possible, déjà la pollution la bas doit être bien 4 fois plus importante qu’en France, tous les animaux sont malades ou presque. Imaginez également la circulation !
Indira : C’est n’importe quoi ! Les gens roulent de tous les côtés, font des demi-tours en plein milieu d’une nationale et ne respectent pas ou presque le code de la route. Pour vous rendre compte un peu de tout ça venez voir cet article, les premières impressions d’Athéna sur l’Inde.
Athena : On a vu aussi un tournage d’une série télé très connue la bas pour répondre aux idées de la classe. Un nouvel article sera bientôt disponible à ce sujet.
Indira : La foule, oui la foule je ne sais pas si vous vous souvenez d’une photo sur le manuel d’Histoire-géo, il y avait une photo d’un train indien, ils expliquaient je crois que les indiens occupaient à 500 un wagon prévu pour 200. Et effectivement beaucoup d’entre eux sont quasiment à l’extérieur du train. Mais nous nous sommes allés dans les wagons pour femme donc c’est moins rempli.

Indira : On avait aussi parlé du Taj Mahal pendant la séance. On a passé dix jours à Agra, la ville de ce monument et on a découvert une très belle vue depuis l’autre côté de la rivière Yamuna. On l’a vu aussi depuis le fort rouge de la ville, où le roi qui avait fait construire le Taj Mahal a été emprisonné huit ans par son fils. Depuis sa fenêtre, il avait au moins une belle vue sur le tombeau de sa femme qu’il avait fait construire …
Athena : Sur ce, n’oubliez pas qu’on écrit des articles régulièrement et que on vous souhaite encore une fois bonne rentrée, même si il y en a qui sont plutôt déprimés en pensant à ce jour =)

Le Black Taj

Dix jours qu’on est à Agra, et on ne l’a toujours pas visité ! Certains nous disent que c’est pas grave, qu’on n’est pas obligé de voir la Tour Eiffel à Paris, et que de toute façon, il ne bougera pas ! Enfin, on l’a quand même vu, un soir du haut d’une terrasse, et un après-midi depuis l’autre de côté de la Yamuna. On le savoure, en fait, car c’est vrai qu’il est beau !

Un ticket pour Dharavi

Cet article a été écrit à six mains. Les passages en italique sont d’Athéna et Indira.

« -3 tickets to Mahim please
-you want to go to the church?
-no, to Dharavi
-… »

Très intriguées par ce plus grand bidonville d’Inde, Athéna et Indira ne voulaient même pas mettre les pieds à Mumbai lorsque nous préparions le voyage. J’avais alors décidé au contraire que le voyage commencerait par là, et que nous irions visiter Dharavi.

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Je trouve sur internet l’agence « reality tours and travel », qui organise des visites de Dharavi en petits groupes, afin de changer l’image que l’on peut avoir d’un bidonville. Les habitants ne restent pas assis à rien faire toute la journée. Dharavi est riche d’activités commerciales et produit plus de 660 millions de dollars par an. C’est justement cette activité qui rend Dharavi si différent des autres bidonvilles. L’agence veut donc en montrer le côté positif et dynamique ; nous prenons nos tickets pour vendredi matin. Si les photos sont strictement interdites lors de ce tour, nous obtenons quand même une autorisation pour qu’Athéna et Indira puissent partager leur expérience avec leurs camarades de classe. Je dois demander l’accord de notre guide « Champ´ » (« like Champion ») avant chaque prise. Très frustrée par le nombre d’images qui m’échappent, je comprends néanmoins que j’ai obtenu une faveur exceptionnelle.

Accompagnées de trois américains, la visite commence pour deux heures. Aladin et Vénus sont restés à la maison.

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Les visites de l’agence sont pour soi-disant nous faire changer d’opinion sur les bidonvilles et en particulier Dharavi. Oui parce que nous on croyait que Dharavi était un bidonville comme les autres, avec des maisons en bidons, plastiques et ferrailles. Et bah pas du tout. Dharavi c’est plus que ça ! Ca fait depuis le 18e siècle qu’il existe. Toutes les maisons sont en béton, il y a des supermarchés, des transferts d’échantillons de plastiques partout dans le monde, des salles informatiques, du recyclage d’aluminium… Enfin bref ils ont tout quoi !

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Les bidons de peintures ou autres produits seront recyclés. Les plastiques durs arrivant ici sont transformés en granules, et revendus.

Indira poursuit l’explication :
On a commencé par visiter la partie commerciale, on a appris que des pays des quatre coins du monde envoyaient à Dharavi de vieilles pièces en plastique (ordinateurs, téléphones, télévisions, verres en plastiques usés, cadres d’écrans, etc.) que les habitants recyclent à l’aide de leurs grosses machines, pour en faire de petits bouts de plastique. Par ailleurs, les femmes sont moins bien payées que les hommes.

Les ouvriers la-bas travaillent sans aucune sécurité, ni pour les yeux, ni pour les mains… Ce qui est très dangereux. complète Athéna.dej13-tdm04-num-113

On a vu aussi des couturiers qui créaient des vêtements pour le nord de l’Inde, des personnes qui fabriquent du cuir, des potiers, des « boulangers » (ils ne font que les gâteaux secs, Khari, biscuits indiens utilisés pour le thé ou le café), des dames qui cuisinent des feuilles de Papad, c’était sympa !

Mais est venue la partie plus difficile de Dharavi : nous sommes passés dans une  »ruelle » (pour ne pas dire passage) si petite et si étroite que l’on a dû se resserrer et se baisser pour pouvoir avancer. Le monde avait l’air tout petit. Il y a avait à peine 1 m 50 de largeur de rue. Il faisait très noir et seule la lumière des maisons qui sortait par l’ouverture de la porte laissait une possibilité de voir devant soi. Les habitations faisaient à peu près dix mètres carré par étage et c’était sombre, très sombres, malgré leur électricité.
Ils ont trois heures d’eau par jour, ils doivent donc remplir des tonneaux pour tenir une journée.

Au final, les avis dans la famille sont partagés :

Papa n’avait pas voulu venir parce qu’il trouve que les gens ici sont trop exploités, et que le monde est trop inégal. Il a du mal à supporter ces injustices. C’est vrai que leur vie est vraiment difficile, ils sont très pauvres, et travaillent dans des conditions très dures.

Maman, elle, trouve ça formidable de trouver la force d’être dynamique et productif dans de telles conditions de vie. C’est pour ça qu’elle a voulu nous montrer dharavi.

Moi, Athéna, je trouve que la vie n’a pas l’air si compliquée que ça, ils ont de quoi se nourrir, de quoi boire, des véhicules, pour certains de quoi gagner de l’argent. Je ne dis pas qu’ils ont la vie en rose, simplement qu’ils ont le minimum pour vivre. Voila ce que je retiens de la visite et ce que je pense qu’est Dharavi au fond…

Moi Indira, j’ai trouvé que cette visite était géniale. D’après le guide, si on avait tout visité, ça aurait pu faire deux jours de visite, mais, ces deux heures m’ont suffit pour comprendre que ce n’était pas du tout comme je l’imaginais : je m’attendais plutôt à un gros bidon-ville avec de petits chemins, des maison en bâche, toile, et peut-être un peu en bois, toutes entassées les unes sur les autres…

Nous avons aussi appris qu’ici, les hommes gagnent au mieux 150 roupies par jour (moins de deux euros) pour douze heures de travail, et les femmes encore moins. À Dharavi, comme dans les 2000 autres bidonvilles de Mumbai, il y a un toilette public pour 1 500 habitants. 1% seulement de la population ont leurs propres toilettes, et 70% utilisent la rue, les terrains publics, les canalisations ou les tas d’ordure pour déféquer. En découlent évidemment des maladies importantes telles que la malaria, la dysenterie, le choléra ou la typhoïde. L’accès aux soins n’étant pas gratuit, il reste compliqué pour les habitants de Dharavi.

Dans cette ville de la taille de cinq cent terrains de foot, vingt fois plus dense que le reste de Mumbai, une des densités les plus élevées du monde (570 000 habitants par km2), cohabitent plus d’un million d’indiens, avec leurs différences, leurs richesses, leurs faiblesses et leurs travers, partageant une vie que l’on ne peut pas imaginer en deux heures de temps.
On ne peut pas non plus imaginer l’avenir de Dharavi. En 2004, le gouvernement a lancé un plan de réhabilitation. Il prévoyait de reconstruire des logements neufs, gratuits pour les habitants installés avant 1995, à vendre pour les nouveaux venants. Pour des raisons de corruption, et de travers humains, ce plan n’a jamais abouti. Par ailleurs, rien n’avait été envisagé pour les entreprises qui auraient dû quitter les lieux.
Une autre solution consisterait à réhabiliter Dharavi avec la participation de ses habitants, quartier par quartier. À eux alors de prendre en charge les services de collectes d’ordures, les sanitaires, etc. Rien n’est prévu à ce jour …

Notons ici que 80% des recettes des visites de « reality tour and travel » retournent à Dharavi via une ONG proposant notamment des formations à de jeunes adultes (anglais, informatique, et développement personnel).

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Dans les locaux de « Reality tour and travel », Indira et Athéna remplissent un questionnaire de satisfaction.

Fraternité franco-indienne

Certainement touchée par la première impression que nous avons de l’Inde, Shariva fait tout pour changer notre opinion. Francophone émérite, tout autant que francophile, elle s’est dit que ça serait vraiment sympa si nos enfants devenaient frères et sœurs ! Ça tombe bien, ce soir c’est la pleine lune, et on célèbre dans toute l’Inde Raksha Bandhan.

 

Non contente d’avoir scellé le pacte de la fraternité, Shariva nous emmène le soir chez Zuni. Zuni a douze ans et apprend le français avec Shariva depuis plus de deux ans. Nous l’avions rencontrée cet hiver à Paris, où elle était venue avec sa tante Tanuja pour un stage de langue d’une semaine. Nous avions bu un chocolat chaud aux deux magots et avions passé de bons moments dans le froid de la capitale. C’est maintenant par une trentaine de degrés que nous nous retrouvons sur leur agréable terrasse avec vue sur la mer. Shariva, une fois de plus, noue le lien, cette fois de l’amitié franco indienne, entre Athéna, Indira, Zuni et ses amies.

Welcome in Mumbai !

« AC or non AC ? »
Pas de clim, merci. Il ne fait finalement pas si chaud, autant plonger dans l’ambiance direct.
« Ok, for five people, you need two taxi ».
Merde me dit Alad, on se sépare ?
Aladin embarque Athena dans un taxi prepayé, et je monte dans l’autre avec Indi et Vénus qui s’endorment direct sur la banquette arrière. Et là commence pour moi la demi heure la plus longue de ma vie. Je viens de lâcher Alad et Athéna dans un taxi indien avec l’adresse approximative de Shariva sur un vieux bout de papier. J’ai oublié de leur donner leurs passeports, ils n’ont pas de téléphone, et quinze heures de voyage sans dormir dans les pattes. S’ils ne trouvent pas l’appart de Shariva, je n’ai strictement aucun moyen de les rechercher ou les retrouver.
Tous les scénarios me traversent la tête pendant ce trajet le plus long du monde. Tous les scénarios, sauf un : Shariva m’attend devant le restaurant « good luck », pour nous mener jusqu’à chez elle. Aladin et Athena nous y attendent depuis cinq minutes. On a l’impression de se retrouver après trois jours de séparation. Tout autant terrorisé que moi par ce trajet en solo, on prévoit avec Alad d’aller s’acheter deux cartes sim dès lundi. Mais le lundi ici tout est fermé …

Welcome in Mumbai.

Après une bonne nuit réparatrice, on sort dix minutes avec Alad, histoire de repérer le quartier et d’apprendre à traverser les rues avant de se lancer avec nos trois filles. (La musique de la vidéo est d’Aladin, inspiré par mumbai).

Le soir, petite balade à la plage, à la grande joie de Vénus qui n’a toujours pas quitté le tshirt de plage offert par Zéphyr. Belle plage de ville, recouverte de pétrole depuis une récente marée noire. Ce qui n’empêche pas les amoureux de venir s’y promener, mais pas question bien sûr d’y tremper même un doigt de pied. Le plus dur est de ne pas glisser sur les rochers.

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Welcome in Mumbai.

Puis le lendemain, pour finir la découverte du quartier, nous allons faire du shopping sur la Hill road. Athéna s’en souviendra longtemps.

Welcome in Mumbai.

Bandra west est un quartier résidentiel et privilégié. Shariva habite dans une rue arborée où la clim naturelle nous fait perdre trois degrés dès qu’on y rentre. Juste en face d’un célèbre studio bollywoodien. Aladin se croit à beverly Hill, et nous profitons des journées d’hospitalité de Shariva et Nilesh pour apprendre à se mettre dans un bon rythme.

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Welcome in mumbai !

Les visas Indiens

Dans la première partie de notre voyage, seule l’Inde nécessite des visas. La Thaïlande nous accueillera sans visas pour moins d’un mois, et les autres pays d’Asie nous les délivreront en arrivant. Et c’est tant mieux, car, souvenez-vous, les épisodes des passeports ne nous avaient pas vraiment réconciliés avec les démarches administratives…