Depuis plus de deux ans que nous sommes rentrés, je rêve de faire un film sur Aladin, premier tourdumondiste droniste. Ayant essuyé les refus d’aide du CNC et de la SCAM, pour l’instant je lâche l’affaire …
Aladin lui n’a pu résister à l’appel des archives, et a écrit cette bande demo pour notre grand plaisir !
Voilà un résumé en images, vu par Aladin et son tapis volant. Un an presque après notre retour, enjoy !
Et voici le morceau et le clip d’Aladin, inspirés par le Mexique. Avec le retour surprise du Drone !!
Depuis bien longtemps, nous voulions vous donner des nouvelles du drone. Oui mais voilà, ça n’est pas chose aisée : son évolution est à suivre au jour le jour, et nous sommes plusieurs dans la famille à avoir arrêté d’essayer de comprendre les détails de sa santé…
Pour continuer avec notre belle experience à Atacama, voici le clip d’Aladin inspiré par notre rencontre avec Mané
C’est dans la région de Salta, un peu au sud que nous avons vraiment eu notre coup de cœur pour l’Argentine, voire même pour l’Amérique du Sud. Nous avons ici compris que la suite de notre voyage nous plairait profondément. C’est certainement l’approche de la culture andine si dépaysante qui nous fit cet effet. Et puis également l’accueil chaleureux et pro de la Vaca Tranquila, cet hôtel au cœur d’une finca qui réjouit tout le monde, d’Aladin a Vénus. Aladin y trouva la sympathie des propriétaires belges et aima leur bière brassée ici même, et Vénus se prit d’admiration pour un cheval blanc et un dindon qui faisait la roue toute la journée. Athéna et Indira durent bien faire un peu de cned, et Jérômine ne fit rien ! C’était la belle vie à la Vaca tranquila …
Retour en Australie pour un vol poétique sur le tapis volant d’Aladin. Enjoy !
Quinze jours à Valparaiso, quelques vols matinaux, une guinguette aux détours de nos déambulations, voilà la vision planante et poétique d’Aladin sur cette ville.
Voilà, après trois jours à Sydney, nous avons déjà un bel aperçu de la nature Australienne :
Rien ne filtrera ou presque de nos vacances à Bali. A peine verrat-t-on le dos de Jérômine attablée au restau. Il faisait beau et chaud, la piscine était douce, nous étions fatigués de nos escapades volcaniques.
Aladin lui en profitait quand même pour s’entrainer aux films institutionnels d’hôtel, pour le grand plaisir du gérant bien sûr. Qui sait, si, sans le sous en fin de voyage, nous ne pourrions pas dealer nos nuits contre des drones de films !
Un film qui ressemble à un point final sur l’Asie, une beauté calme et déjà nostalgique…
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