Le Pérou, authentique et reposant

Nous avons trouvé au Pérou le confort d’un voyage authentique et reposant à la fois, avec un repos bienvenu en venant de Bolivie ! Le plaisir également d’une cuisine élaborée, avec par exemple la découverte du ceviche (poisson cru mariné), la soupe d’écrevisses ou encore le cochon d’Inde, que nous n’avons d’ailleurs pas testé… Nous avons apprécié la fierté avec laquelle les péruviens font découvrir leur pays, ses coutumes et son folklore. Nous avons été heureux de découvrir ses régions variées, et de retrouver la chaleur dans l’Amazonie. Chaleur humaine aussi avec l’accueil de la famille de Grecia qui restera bien sûr gravé pour la vie.
Un pays rempli de témoignages et de lieux historiques que nous n’avons hélas pas pu explorer suffisamment. Les mystérieuses lignes de Nazca resteront d’ailleurs le regret du voyage pour Athena. Mais il faut bien se laisser des envies de repartir !

Le patrimoine mondial

Les lieux inscrits sur la liste du patrimoine mondial ont été étudiés et retenus par l’UNESCO. Ils sont d’une beauté ou d’une architecture incroyable et extraordinaire. Si l’UNESCO les protège et les défend de toutes tentations de dégradation c’est pour que les Hommes puissent préserver ces endroits sur cette terre,  qui compteront à jamais dans leur histoire.

Pour faire partie du patrimoine mondial, les lieux doivent respecter au moins un des dix critères établis par la Convention du patrimoine mondial. Dans ces critères, on compte principalement le fait de témoigner d’une civilisation et d’établissements de traditions humaines qui soient représentatifs d’une culture. On compte également les lieux témoignant de l’évolution de la nature ; des animaux et des plantes, mais aussi ceux qui sont issus d’une architecture stratégique et admirable, magnifique et extraordinaire. Peuvent faire à leur tour partie du patrimoine mondial les lieux abritant et préservant des espèces menacées et en voie de disparition, puisque l’UNESCO se doit de protéger la terre et ses merveilles naturelles y vivant.

Durant notre voyage, nous avons pu en voir un bon paquet. En Inde, Agra et son fort rouge réputé pour son architecture, sa grandeur grandiose sans pour autant négliger la beauté des lieux. Le Taj Mahal connu pour la beauté de ses murs incrustés de pierres précieuses et son architecture symétrique remarquable, sans oublier son histoire mythique. Les multiples temples de Kadjuraho qui trônent dans des jardins entretenus. Les représentations diverses de l’amour les rendent uniques. Le chemin de fer de Darjeeling parce qu’il traverse des paysages d’altitude exceptionnels pendant la longue durée de 3 heures, pour 24 km.

 

Au cambodge, nous avons inévitablement visité les temples d’Angkor qui sont protégés par l’UNESCO pour la beauté de leur architecture et les différentes sculptures qui sont incrustées dans leur murs. L’art Khmer d’Angkor ayant influencé une très grande partie du pays est également reconnu pour ce talent.

Disposé en forme de lotus, l‘ensemble de Borobudur en Indonésie représente parfaitement l’art et la matérialisation des croyances indonésiennes puisque la fleur de lotus est celle sacrée de Bouddha. Sa pyramide à niveau a également fait pencher le choix de l’UNESCO dans la balance.

En Australie, nous avons pu traverser une partie de la région des montagnes bleues réputée pour sa grande étendue d’Eucalyptus et également pour sa flore majestueuse qui fait de la région un bien important du patrimoine mondial. De retour à Sydney, il nous fallut absolument apercevoir pour le moins, son opéra, classé au patrimoine mondial pour son architecture incroyable et représentative de l’imagination concrétisée du XXème siècle.

Au Chili, c’est le centre historique de la deuxième ville de ce pays : Valparaiso ou Valpo pour les intimes qui est compté parmi les lieux du patrimoine mondial. En effet la beauté urbaine colorée de ce quartier le révèle être un bien de l’UNESCO. Les milliers de maisonnettes montées et dressés le long de plusieurs collines accentuent davantage la beauté du lieu.

En Argentine, nous sommes allés dans le parc national d’Iguazu.  Il est dit bien de l’UNESCO pour sa biodiversité de plantes, d’oiseaux, de mammifères marins et terrestres et d’invertébrés incalculables. Mais également pour ses impressionnantes chutes d’eau très nombreuses qui sont les plus grandes, les plus puissantes, et les plus grandioses du monde dans un cadre vert tout à fait remarquable par la tropicalité des plantes et la forêt en elle-même.

Au Brésil, c’est Rio de Janeiro qui fait partie du patrimoine mondial. La beauté croissante de cette ville perchée entre les montagnes et la mer fait d’elle une des plus belles villes du monde, parmi les plus grandes. Ses nombreux monuments naturels ou issus d’une construction humaine, tels que le corcoavado, ou le Christ rédempteur, le pain de sucre et sa baie très connue attirent l’admiration des voyageurs et de nombreux auteurs. Rio est une ville surprenante.

En Bolivie, premier bien que nous avons visité : la ville de Potosi. En réalité, c’est surtout la montagne qui surplombe cette ville qui en fait d’elle un bien. Les gisements gigantesques d’argent font d’elle une ville à préserver en toute priorité, d’autant plus qu’elle est classée depuis cette année sur la liste des sites en danger, à cause des exploitations minières incontrôlées. Ensuite, nous avons visité l’hispanique ville de Sucre qui regorge un centre plein d’histoire et de cultures du pays mélangées à celles importées d’Espagne. Mais la Bolivie compte un troisième bien, le dernier que nous ayons pris plaisir à visiter et à y découvrir sa riche histoire : Tiwanaku. Les ruines témoignent d’une culture et d’une civilisation andine qui y sont pour beaucoup dans le développement de la vie et de l’histoire préhispanique. Enfin, et nous l’avons appris récemment car c’est nouveau de cette année : Qhapaq Nan, le réseau de routes andins qui traverse bien des pays de l’Amérique du Sud. Il serpente entre les montagnes et offre une vue incroyablement unique témoignant du savoir-faire des Incas.

Au Pérou, deux villes que nous avons successivement visitées font partie du patrimoine mondial et ne sont autres que Arequipa et Cusco. Cette dernière ayant été sélectionnée pour son parfait témoignage de la civilisation des Incas au Pérou. Arequipa, elle, est une ville sélectionnée pour son centre culturel retraçant l’histoire du peuplement colonial contraint par la nature sauvage qui entoure Arequipa.

Enfin, il y a les points moins positifs et magnifiques que ceux décrits plus haut. En effet, le patrimoine mondial et les biens qu’il préserve ont les inconvénients de leurs avantages. Car plus le tourisme fait rage, et plus le lieu préservé, naturel et jugé comme étant une merveille de la nature se dégrade.

 

Prenons l’exemple du Macchu Picchu, un grand territoire tapis de ruines au creux d’un nid dans de hautes montagnes, de quoi vous épater grandement certes, mais pourtant les touristes et les bus y grimpant par milliers sont une menace. Une menace qui risque de provoquer très probablement son effondrement, et son équilibre dans le creux des montagnes ne sera plus. C’est en partie pour cette raison que nous avons jugé bonne et solidaire que nous ne mettrons pas les pieds au Macchu Picchu.

Mais si nous avons déjà vu bon nombre de lieux du patrimoine mondial, nous savons que le reste du Pérou et le Mexique nous en réservent d’autres. Nos apprentissages dans le monde sont en partie dus à nos visites de ces biens très instructifs et mythiques dans le monde.

Du sang neuf

Le séjour au Mexique s’annonçait comme une fin de course … Cancun ne nous emballait pas, Athena et Indira ayant filé vers Los Angeles, les autres vers le Belize, il ne restait ici plus que quinze jours. Trop peu pour aller voir le cousin Geoffroy expatrié au centre de ce grand pays. Aladin de toutes façons n’avait plus de batteries pour quoi que ce soit et décida de faire la grève des bus. Jéromine se morfondait déjà de rater ce séjour mexicain, désolée de gâcher la fin du voyage à attendre le retour sans rien faire.
On se décida donc pour Tulum, pas trop loin, et pas trop moche paraissait il …
Les ruines mayas, la plage de sable aveuglement blanc, et la baignade au milieu des tortues commençaient à remonter le moral des troupes. L’attente du retour ne serait ni trop fatigante pour Aladin, ni trop décevante pour Jéromine.

Mais c’est surtout la venue de Geoffroy qui reboosta l’humeur familiale. Geoffroy nous rejoignit d’un coup d’avion et de voiture de loc le temps d’un week-end royal. Il débarqua dans notre bungalow le vendredi soir, chargé de bon vin français, de roquefort accompagné de son pain au raisin, de crème de marron et de carambars ! Sans oublier les derniers produits Danone de sa création, notamment du yaourt non brassé !

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Son festival de générosité continua dans le bon restau français de Tulum, où les filles trouvèrent leur bonheur dans des crêpes, Aladin dans la bavette à l’échalote de son enfance, et Jéromine dans une bonne salade de lentilles aux courgettes crues que ses amis amapiens reconnaîtront.
Puis Geoffroy nous gâta tout le week end en nous emmenant naviguer parmi les dauphins, nous extasier sur un crocodile, admirer le gosier tremblant des pélicans, faire la course avec les tortues de mer ( qui faillirent gagner, si si !), nager au milieu des calamars, se baigner dans une eau indécemment transparente en pleine mer des caraïbes ou encore se rafraîchir dans l’eau pure des cenotes entre stalagmites et stalactites.

Nous étions heureux de rencontrer notre cousin dans son nouvel environnement, avons été émus par son accueil et sa générosité, et redynamisés grâce à lui pour la suite du voyage !

 

Le Bélize, roots and peace

 » Hey man, pose ton sac à l’arrière du bus, et t’inquiète, personne n’y touchera : t’es au Belize gars ! »
Prendre le bus au Belize est un sport national : pas de ticket à l’avance, les places appartiennent au premier entré. Alors avec les sacs, on n’est pas avantagé, on en a laissé passé trois en début de séjour. Mais qu’importe, ici on a le temps. « Go slow » est d’ailleurs la devise de caye caulker (où nous n’irons pas).

Ce qui nous a surpris dès notre premier jour au Belize, c’est que tout le monde nous dit bonjour. Non pas parce qu’on est touristes, mais parce qu’ici c’est comme ça : on dit bonjour en entrant dans le bus, dans les boutiques, ou tout simplement dans la rue. Un bonjour qui attend d’ailleurs une réponse !

Voilà donc ce que nous n’avions pas encore eu dans notre voyage : l’ambiance roots et cool des caraïbes. De quoi attendre tranquillement la fin du séjour californien d’Athéna et Indira qui aura sûrement été d’un tout autre rythme. Ici c’est eau transparente et soirées musicales aux rythmes des tambours garifuna.
Loin des ressorts luxueux, nous avons apprécié nous retrouver dans une ambiance probablement jamaïcaine, où l’on n’aurait pas été surpris de croiser Jimmy cliff au détour d’une ruelle… Des lieux si authentiques que les touristes y sont rares, des villages si tranquilles que nous avons eu du mal à nous loger, les cabanes, hors saison ne faisant pas de zèle.

Vous l’aurez compris, loin des cartes postales le Belize nous a plu pour sont authenticité, sa tranquillité de vie, et la sincérité de ses habitants !

Avec l’oncle d’Amérique …

Cet article est dédicacé à notre Oncle Nico avec qui on a pu voyager en Californie et à ses amis Antoine et Maria pour nous avoir prêté la maison !

Voilà quelques jours que nous sommes sorties de l’avion qui nous ramenait à Cancùn, à ce voyage qui touche d’ailleurs à sa fin,  à la chaleur humide et forte et tout ce que pouvait rassembler le tour du monde. Mais avant ce retour brusque au Mexique, il y avait Los Angeles, nous y avons passé une dizaine de jours auprès de notre oncle, on était ravies de rajouter la Californie à notre itinéraire, mais cette fois-ci, seulement Athéna et moi (Indira) pouvions l’ajouter.

Après que Nico nous ait recueillies à la maison d’amis qui serait nôtre pour ces dix jours « d’extra-vacances », on a fait la connaissance de Gromette, une chienne qui faisait partie du marché : Si on prend la maison, on garde le chien. Cela n’avait rien d’une corvée, au contraire. Nico nous a expliqué que Los Angeles est divisée en plusieurs petites villes, et lorsqu’il a donné l’exemple d’Hollywood on a compris qu’il ne nous apprenait rien, en revanche on était ravies de savoir que l’on allait connaître un peu plus de quartiers qu’Hollywood, qui est l’un des plus touristique.

Pour commencer, tranquille balade  à vélo au bord de la mer, à Venice, référence à Venise, nous a-t-il dit, pour ses canaux notamment. Venice est en fait le quartier dans lequel notre maison est située, impossible donc de ne pas connaître ce coin-là de Los Angeles.

Comme le monde est petit, on a profité pour voir une amie anglaise de Papa et Maman, Holly, qui habite aux États-Unis et qui par hasard était en vacances en Californie en même temps que nous . On est allés la retrouver à Los Feliz, encore un beau quartier où se trouve un parc très sympa : Le Griffith Park. Après quoi on est allés voir une première fois l’ « Hollywood Sign » près de l’Observatoire du Griffith Park. En fait il est possible de le voir un peu partout lorsqu’on est en hauteur et face à lui, c’est un peu comme le Christ de Rio, finalement !

Souvent on a eu l’occasion d’admirer la vaste vue de la mégapole, et comme Nico nous racontait que Downtown était l’un des quartiers très riches et avec gigantesques immeubles, on a vite fait le rapprochement sur la vue qui nous servait parfois de carte : Downtown est dans ce coin de Los Angeles où l’on ne voit que des grands immeubles, sur la « carte » il est à l’Est. Et non, il n’y a pas que des immeubles dans cette immense ville, bien au contraire, raison pour laquelle il est facile de reconnaître Downtown. C’était d’ailleurs très amusant de chercher quel était le bâtiment le plus grand de ce quartier. Heureusement quand même, dans ce quartier il n’y a pas que des immeubles, il y a par exemple le Walt Disney Concert Hall. Inutile de vous dire que nous avons pensé un moment qu’il y avait un rapport avec les dessins animés mais rien n’en est ; il porte ce nom parce que Lillian Disney a fait don de 50 millions de Dollars pour la construction du Concert Hall en dévotion à son mari, Walt Disney. Il est grand, beau et très original, Athéna a rapporté qu’il ressemblait à l’Opéra de Sidney, et Nico nous a répondu qu’il avait été dessiné par Frank Gehry, un architecte qui se spécialise dans les courbes, le « déformé ». En réalité, il n’y a ni parade des princesses disney ou les chanteurs des personnages, mais plutôt des concerts de musique classique, donc à moins de se payer l’entrée à un concert on ne pouvait pas entrer. Toujours à Downtown, pour nous trouver un bon restaurant et en même temps découvrir la ville, nous nous dirigeâmes vers le Little Tokyo, puisqu’à Los Angeles il y a beaucoup d’immigration de Japonais et de Chinois, beaucoup qui font leur business là-bas, et les quartiers asiatiques dans cette mégapole sont très importants !

Pour des vastes vues il y a aussi le Getty Center. Un musée connu pour ses jardins et ses vues justement, un très joli musée. Et pendant ce séjour on a aussi eu l’occasion de découvrir un second musée dans lequel est exposé « la Gerbe », les Lampadaires, le bar de Stark, et bien d’autres collections. Ce musée devient d’ailleurs célèbre à Los Angeles : Le LACMA.

Une autre ville dans laquelle nous sommes allés : Santa Monica. Là-bas nous avons fait nos emplettes pour la rentrée puisque c’est le pays adéquat. Après des calculs, c’est effectivement moins cher qu’en France. Centre commercial qui fut dessiné par Frank Gehry, comme pour le Walt Disney concert Hall. Nico est passionné d’architecture et durant le séjour nous a fait partager ce plaisir. On s’est amusées à photographier les différents designs étonnants !

Et qui dit maisons dit Beverly Hills, un des incontournables quartiers ! Malheureusement on n’y a consacré qu’une petite matinée mais assez pour faire l’aller-retour et continuer notre quête des plus belles maisons.

On a beau prendre nos maillots de bain et aller à la plage, on ne s’est pas baignés. On est tout de même allés voir quelque plage à Manhattan, à Malibu, à Venice ou à Santa Monica, toutes très agréables pour se reposer ! Le soleil faisait tous les jours partie de nos promenades et on ne le regrette pas.

Comme il est écrit plus haut, il y a beaucoup de Chinois et de Japonais à Los Angeles, qui nous ont encore surpris à Pasadena cette fois-ci. Dans ce quartier on est allés voir les beaux jardins de Huntington Garden, avec des plantes de tous les jours comme des plantes exotiques. En premier lieux on découvrait les jardins du désert avec toutes sortes de Cactus s’élevant dans les airs et se divisant en vingt bras. Puis vinrent les jardins asiatiques avec ces jolis petits abris à toits rebiquant vers le ciel, les plants rose saturé et vert vif et les étangs apaisants.

Et puis bien sûr il y a eu Hollywood. Là-bas on a marché sur les étoiles du Walk of Fame où nous ont d’ailleurs accueillis Dark Vador, Wonder Woman ou Spiderman. Bien sûr la majorité des étoiles sur lesquelles nous posions pied portait le nom d’une célébrité qui nous était inconnue parce que des étoiles il y en a énormément. On a quand même réussit à reconnaître Walt Disney, Bugs Bunny, Jonny Depp, et plusieurs autres. Toujours dans le but de voir des célébrités, on est allés voir le « Madame Tussaud », le musée Grévin de Los Angeles, en fait. Nico n’était pas très partant mais a fini par avouer que ce n’était pas mal organisé.

Ce qui nous a fort marquées à Hollywood, c’était les Studios d’Universal. Nous avons vu toutes sortes d’effet spéciaux comme la pluie, le sang, les inondations, les dinosaures, les environnements fictionnels comme le monde des sucreries, la 3D, et bien diverses autres choses. Il y avait principalement des attractions autour de leurs productions mais d’autres animations comme le spectacle d’animaux acteurs, les souris dressées, comment les oiseaux volent dans les films, les chiens qui obéissent au doigt et à l’œil, les oiseaux qui volent sur un trajet virtuellement tracé, toutes ces surprises dans les films que nous avons vus en vrai nous ont époustouflées. Pour finir le tour on a observé de loin les studios Disneys, Warner, Dreamworks, etc. !

Ensuite, nous avons quitté L.A. pour nous diriger vers une ville dont rêvait Nico pour ses maisons d’architectes réputées pour leur beauté. Là-bas, nous avons logé dans un hôtel avec clim. C’est pas faute d’avoir essayé d’échapper à la belle quarantaine de degrés en passant aussi rapidement qu’un éclair entre la voiture et la chambre climatisées, nous l’avons tout de même sentie, cette chaleur. Dans cette prospère ville qu’était Palm Spring, nous avons, le soir de notre arrivée, fait le tour de cinq ou six maisons d’architecte afin de réaliser le rêve de Nico.

 pour voir les photos de ce paragraphe, revenez sur l’article dans une semaine !

Le lendemain matin, il nous a simplement suffi d’un bon petit dèj pour nous donner l’énergie nécessaire et monter à plus de 2000 mètres en téléphérique. Après quoi nous avons malheureusement dû attendre une bonne heure, à cause de nombreuses averses alors que nous n’étions pas équipés, avant de sortir de la station du véhicule sur câble et d’enfin pouvoir se promener entre les quatre seules espèces d’arbres d’une forêt d’altitude. Les points de vue étaient magnifiques, grandioses et apaisants. Si apaisants que Nico s’est endormi adossé à un rocher, disant, à son réveil, que monter d’un seul coup à 2000 mètres d’altitude l’avait assommé. Retour à l’hôtel, où nous avons profité de la piscine.

 pour voir les photos de ce paragraphe, revenez sur l’article dans une semaine !

Et enfin, troisième et dernier jour à Palm Spring, mais aussi avant-dernier jour en Californie, nous avons opté pour le célèbre (ou pas) et grand parc naturel du Joshua Tree. Nous avons longtemps cru que Nico nous disait Geauchoiterie (à la française), jusqu’au moment où le panneau d’entrée indiquait « Joshua Tree« . Ce parc porte le nom de l’arbre qui le recouvre à beaucoup d’endroits. En effet, on y voit énormément de Joshua Tree. Mais il y a aussi cette vue incroyable qui nous offre la beauté de la faille de San Andreas. Un spectacle qui vous donne clairement l’impression de dominer le monde tant la vue est grandiose.

Puis, nous sommes alors tranquillement rentrés à Los Angeles, en nous arrêtant d’ailleurs dans des boutiques d’usines, où nous avons fait notre bon plaisir.

Et si vous voulez voir le récit de notre oncle, n’hésitez pas à aller visiter son Carnet de Voyage Mobile. Il a d’ailleurs beaucoup voyagé !

Le Belize, en surprise !

Nous n’avions pas prévu d’aller au Belize … Mais délaissés par nos filles aînées, il fallait bien nous consoler, et les attendre quelque part. Alors, voilà l’occasion parfaite pour découvrir ce petit pays que nous ne connaissons quasiment pas, et que peut être plusieurs d’entre vous découvriront en lisant ce post …?
Nous avons entendu parler du Belize Aladin et moi il y a une quinzaine d’années par notre amie Francine, tombée amoureuse de ce petit coin du monde, et partie y vivre. C’est donc à travers elle que nous nous sommes fait une image de ce pays. Plage, caraïbes, culture rasta mais surtout garifuna, que nous allons essayer de découvrir du coup. Avec de bons musiciens, de la bonne cuisine, et un savoir vivre plutôt tentant ! Un petit coin de paradis sur terre nous semble-t-il, avec des lieux encore bien préservés du tourisme. Un bel endroit pour poser notre hamac, savourer les 30 degrés à l’ombre en trempant les pieds dans l’eau !
Pas d’autre guide que les conseils de notre amie Francine, l’aventure commence ce soir !