Cet article est pour Camille qui sut prendre des risques pour moi (!), et me motiva à Valparaiso…
Nous connaissons tous Pablo Neruda. Au moins pour une rue, un centre culturel une place de banlieue qui porte son nom. Ce fut donc l’occasion au Chili, et plus particulièrement à Valparaiso d’approfondir nos connaissances sur ce personnage, nous retrouvant sur ses traces à Valparaiso. Non pas que nous ayons visité sa maison, les musées n’étant pas notre truc, honte à nous. Nous sommes tout de même passés devant, le seul jour de fermeture, un lundi…
En revanche, nous ne pouvions que découvrir son poème que nous aurions pu mettre en exergue de notre blog :
« Il meurt lentement celui qui ne voyage pas,
(…)
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés. »
Mais c’est bien sûr l’Ode à Valparaiso que nous voulons vous présenter ici, après dix jours de flaneries dans cette ville qui nous a tant plu, qui nous attend plus…
Quel hommage de grande inspiration…Vite, plongeons dans ses œuvres !
Ca donne envie d’aller visiter la maison du poète ! Superbement dit, avec toutes ces peintures et maisons de toutes couleurs, c’est sûr Valparaiso, il faut y revenir !
Hardi, les gars, vire au guindeau, Good bye, farewell, good bye fare well, Hardi les gars, adieux Bordeaux Hourrah, oh ! Mexico, O, O, O, Au cap Horn il ne fera …
Alors là notre inculture nécessite une explication !
« Valparaiso » est une chanson de marins de nos 20 ans : « Hardi les gars … » sur
http://joukovmusic.skyrock.com/3123475071-Hardi-les-gars-vire-au-guindeau-Valparaiso-France.html
40 ans après, le livre de P.Néruda, Nobel de littérature « J’avoue que j’ai vécu » continue à avoir de jeunes lectrices et lecteurs . Formidable !
Pas de regret pour la visite manquée a sa maison , les photos n’y sont pas autorisées.