On nous avait bien mis en garde contre le mal des montagnes : maux de tête, œdèmes, que sais-je encore … Rien de cela, ou presque, en tout cas rien de grave. Mais un sentiment de fatigue au bout de près de deux mois d’altitude, dû bien sûr à l’essoufflement permanent, mais surtout au froid constant. Pas tant dans la journée, où tongs et t.shirt à manches courtes sortent encore parfois des bagages, lors de promenades au soleil, mais le froid permanent dans les hôtels non chauffés, où il faut jongler entre débit et température pour se réchauffer convenablement sous la douche, a eu raison de nous. Nous avons eu plaisir à frôler les 4000 mètres en permanence, mais serons bien contents de redescendre de quelques centaines, pour quelques degrés de plus !
Et pour des détails plus précis, nous avons flirté avec les 4 000 mètres et admiré des paysages des plus apaisants :
dans le salar d’Uyuni




Jérômine seule s’est aventurée pour rencontrer des paysans dans la région de Sucre, et a passé deux ou trois barrières à 4 000 pour y arriver



Dans les villages Jalq’a où nous avons descendu le chemin des Incas, et dormi au cratère de Maragua











Enfin à Sajama, à quelques heures de bus de la Paz





