Nous nous apercevons soudainement en lisant les articles du collège Travail sur l’Australie, que nous n’avions par fait notre bilan sur notre séjour là bas …
Avec l’appréhension que nous avions avant d’aller sur cette île lointaine, il n’est pas très étonnant que nous ayons été agréablement surpris ! Nous ne parlerons pas d’argent en permanence, mais nous pouvons quand même annoncer que, si la vie australienne est incomparablement plus chère que la vie indienne, on peut néanmoins passer un séjour sympa sans revenir plumé. Bon, si Aladin avait tenu sa résolution d’arrêter de fumer, on s’en serait encore mieux tiré c’est sûr …
En dehors de ça, on a aimé être surpris par l’Australie. Certes on savait que la nature était présente, mais on ne s’attendait pas à croiser tant d’animaux, tous les jours ou presque nous avons vu un animal différent, plus que partout ailleurs depuis le début su voyage. Pour un pays des plus « développés », c’était une bonne surprise. J’ai également été étonnée par moi-même : moi qui n’aime pas photographier les paysages, j’ai eu plaisir à le faire tout au long du séjour, sans me forcer; sans pour autant me trouver une nouvelle vocation… Ce rapport à la nature nous a pris par surprise : nous ne nous attendions pas au départ de notre voyage à manquer de wifi en Australie, ni même à nous retrouver sans eau ni électricité dans ce pays. Si l’on peut facilement camper partout, c’est sans eau courante ni électricité dans les parcs nationaux les plus reculés … Ici, on ne rigole pas avec la nature. Tant sur les plages de Sydney où un micro nous rappelle à l’ordre dès qu’on trempe un doigt de pied sous le panneau baignades interdites, qu’en haut des Barrington top où la température baissa de probablement une bonne dizaine de degrés, et où nous étions donc finalement contents de ne pas trouver le camping annoncé !
Nous garderons donc un souvenir de pleine nature de notre séjour, ponctué néanmoins de rencontres humaines également mémorables, comme le partage de la fête nationale célébrée en bord de plage dans un camping bondé nous offrant un panaché parait il représentatif de l’éventail autochtone.
























Et bien, c’est sympa, ce petit retour sur l’Australie, et pour les rencontres d’animaux, vu le peu d’habitants,par rapport à l’immensité, faut bien rencontrer quelqu’un, alors…
Bilan très intéressant. La protection de la nature semble un peu rappeler celle que demande le Canada à ses visiteurs: les grands espaces ne signifient pas négligence. Essayez de nous présenter encore quelques animaux, intéressants vus de loin…
Paul se croit au Bush en 68 quand il voit Alad au bord de la piste rouge . En fait nous sommes à Fontainebleau .