Aladin Jouini 42 ans l’année du départ
Aladin est un éternel enfant allant jusqu’à organiser une jeunesse artificielle dans sa vie. Autodidacte et capable de tout, il est depuis toujours auteur compositeur et trouve sa motivation dans sa quête de soi- même, afin de s’adoucir, s’explorer et se comprendre. Il maitrise également la 3D, et nous permettra ainsi d’habiller nos films et notre blog de manière professionnelle et originale.
Aladin prépare actuellement les plans du drône qu’il veut construire, afin d’aller filmer les arbres par la cime.
Son univers : http://www.alad1.com

Jérômine Derigny 42 ans l’année du départ
Jérômine est photojournaliste et a réalisé de nombreux reportages sociaux et environnementaux aux quatre coins du globe. Des prisons de mineurs en Russie aux anonymes porteurs d’espoir de la banlieue parisienne, en passant par des planteurs d’arbres en Inde ou encore des touristes équitables au Burkina Faso, elle s’attache à parler des difficultés du quotidiens en mettant en lumière des actions positives et humanistes.
Solidarité, environnement, engagement sont des valeurs qui se retrouvent dans les activités de Jérômine, tant professionnelles que militantes. Jerômine a suivi récemment une formation video.
Son univers : http://collectifargos.com/Jeromine-DERIGNY

Athéna Jouini, 12 ans l’année du départ
Athéna ressemble comme deux gouttes d’eau à Indira sa sœur jumelle. Enfin, pour qui ne la connait pas bien. On peut se repérer au petit grain de beauté sur la joue gauche, un peu plus haut que celui de sa sœur, ça en aide plus d’un. Ou à sa raie sur le côté, mais il paraît que ça ne saute pas aux yeux… Il serait pourtant plus simple de se pencher sur son caractère. Elle est l’ainée de 5 minutes, mais ça n’est pas pour rien. C’est bien elle qui a percé la poche, et entrainé sa sœur à se plonger dans le monde. Forte de caractère, elle sait ce qu’elle veut, et a les idées bien en place. Quand à l’idée de faire le tour du monde, ça ne la réjouit pas tant : rater l’école un an, il va falloir y réfléchir… Athéna joue de la flûte traversière, fait de la pâte Fimo, dessine et peint à l’aquarelle, adore Miyasaki et connait tous les max et Lili. Elle est très à l’aise avec l’écriture et le dessin, et sait tenir un blog. Elle aime faire de l’aquarelle.

Indira Jouini, 12 ans l’année du départ
Indira ressemble comme deux gouttes d’eau à Athéna sa soeur jumelle. Enfin, pour qui ne la connait pas bien. On peut se repérer au petit grain de beauté sur la joue gauche, un peu plus bas que celui de sa sœur, ça en aide plus d’un. Ou à sa raie au milieu, mais il paraît que ça ne saute pas aux yeux… Il serait pourtant plus simple de se pencher sur son caractère. Douce et délicate, elle a suivi sa sœur à la naissance, mais serait bien restée les 6 semaines restantes, bien au chaud avec sa maman. Sensible et attentionnée, Indira suit en toute sérénité la vie qui se présente à elle.
Indira fait du théâtre et de la vidéo. Elle a entrainé sa sœur dans l’aventure de la pâte Fimo, postant maintenant ses propres vidéo-démo sur internet. Également à l’aise en écriture et en dessin, elle travaille aujourd’hui à la rédaction d’une nouvelle.

Curieuses et ouvertes sur le monde, Athéna et Indira savent jongler avec leurs loisirs : surfant aisément sur gmail, facebook et autres DS ou ipad, auteurs de plusieurs blogs, elles aiment aussi bricoler de jolis petits objets de récup’ qu’elles revendent dans les brocantes. Chaque été, elles découvrent les joies des légendes bretonnes dans les Monts d’Arrée, profitant d’une maison décroissante par obligation, maniant ainsi la douche solaire et les toilettes sèches avec plaisir !
Côté voyage, Athéna et Indira connaissent la Tunisie, pour être allées 2 fois à des mariages familiaux, et traditionnels. Elles y ont ainsi rencontré une grande famille accueillante. Elles savent que leur père y a plus de 40 cousins, et ont suivi avec émotion du haut de leur compréhension d’enfant la chute de Ben Ali. Le Maroc leur est cher aussi, suite à un voyage de 2 semaines à Essaouira, en plein cœur du festival de musique Gnawa, bien mémorable pour des enfants de 6 ans. La Russie, chère à leur mère, leur a laissé aussi un souvenir de contes d’enfants. 2 semaines en famille, avec les grands-parents, leur ont permis de découvrir Moscou et l’anneau d’Or, puis Saint Petersbourg. Leur resteront surtout les souvenirs de Liocha et Ksioucha, avec qui elles ont tant joué sans pourtant pouvoir échanger un seul mot.

Vénus Jouini, 3 ans l’année du départ
Vénus est la seule planète du système solaire qui tourne dans l’autre sens. Ayant su attendre son tour pour venir au monde, elle représente chez nous la finition de la famille, l’étincelle qui ranime notre joie de vivre. L’étonnement et la réjouissance l’accompagnant au quotidien, elle chante à tue tête toute la journée et promène dans notre maison son éclat de rire. Mais l’horizon lui paraît déjà trop proche, et elle se jette sur ses chaussures dès qu’elle les aperçoit, pour bien nous faire comprendre qu’il faut maintenant partir à la découverte du bout de la rue. Ayant fait ses premiers pas à 10 mois, elle s’accroche à ses grandes sœurs à chaque départ d’école, et se complet à dire au revoir à ceux qui l’entourent, dès lors qu’on la prend dans ses bras, espérant partir pour de nouvelles aventures.
L’année de ses 3 ans, c’est autour monde qu’elle ira à l’école.